Voilà, soyez indulgent s'il vous plaît (sauf Alkage, prechan et naeda pour la double destruction de l'auberge).
Titre: Sigrund(SIG) Kardovsk
Époque-SoC
Chapitre 1
Époque-SoC
Chapitre 1
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Depuis son enfance, Sigrund rêve de devenir célèbre, il ignore qui il est, et veut devenir quelqu'un. Née de parents inconnus, il a grandi dans un orphelinat près de Kiev. Pendant son enfance, la catastrophe a eu lieu, et l'orphelinat fût déplacé plus loin. Puis il y a eu l'agrandissement de la zone autour de la centrale. D'après ce que racontaient les sœurs qui s'occupaient d'eux, les enfants ont pu apprendre beaucoup de choses sur cette "zone" qui était encerclée par les courageux fils du peuple qui protégeait le monde de cet enfer qu'était la "zone".
Le jour de ses seize ans, la mère supérieure le fit venir dans son bureau.
-Assieds toi Sigrund.
-Qu'y a t'il ma mère ?
-Le moment est venu pour toi d'en apprendre plus sur ta famille.
Sigrund sentit son cœur s'arrêter, il allait peut être connaître ses parents, peut être avait il des frères ou sœurs ?
-Lorsque tes parents t'ont amené ici, ils ont laissé un paquet pour toi, et ont demandé à ce qu'il ne te soit remis qu'à ton seizième anniversaire.
Elle lui tendit le paquet et il la regarda les larmes aux yeux. Il prit le paquet et l'ouvrit tout doucement, en frémissant. Le paquet contenait une lettre et un couteau de combat de l'armée. Il ouvrit la lettre, et la lit.
"Mon fils, ton père et moi avons été les parents les plus heureux du monde lors de ta naissance. Mais nous ne pouvions t'élever là où nous vivions. La zone est trop dangereuse pour un enfant, c'est pourquoi nous t'avons déposé chez les sœurs de l'orphelinat. La mère supérieure m'avait recueilli peu de temps après mon arrivée dans cette ville, j'avais été violé et j'étais au bord du suicide. Les sœurs m'ont aidé à refaire ma vie et à y reprendre goût. C'est au couvent dont s'occupait la mère supérieure précédemment que j'ai vécu dans la prière et la contemplation pendant 6 ans. L'année de mes 26 ans, j'ai rencontré le nouveau jardinier du couvent, il portait une clochette à la jambe parce que nous n'avions pas le droit de le voir et devions partir dès qu'on l'entendait. Mais je l'avais vu une fois, une unique fois qui a changé ma vie.
Nous sommes tombés amoureux et comme je n'avais pas prononcé mes vœux, j'ai pu partir rapidement avec lui. Nous avons voyagé dans toute l'Ukraine pour vivre des aventures assez curieuses, je dois dire. Mais aucunes ne valaient la dernière. La "zone" est un endroit aussi mortel et lugubre, qu'il est magnifique. Et on peut vite devenir riche si on fait attention et qu'on a la chance de survivre aux jours qui passent et aux mutants. Nous n'avons pas fait fortune, mais nous avons trouvé une vie qui nous plaisait à tous les deux, alors nous sommes restés. Et tu es arrivé...Alors nous avons essayé de quitter au plus vite la zone pour te mettre à l'abri.
Je sais que ça a dû être très difficile pour toi de vivre sans nous, mais c'était nécessaire. Ton père et moi t'aimerons toujours. Adieu mon fils."
Sigrund, s'effondra par terre en proie à un malaise.
Deux semaines plus tard, à la gare...
-Sigrund, tu es sûr de ton choix ? Demanda la mère supérieure.
-Oui ma mère, mes parents sont peut être encore dans la « zone », s'ils sont en vie, j'ai une chance pour retrouver ma famille ! Alors je vais aller dans la zone grâce à ce passeur et ensuite, soit je retrouverais mes parents, soit je mènerais une vie d'errant comme eux...
-Soit, si tel est ton choix. N'oublie pas ce que nous t'avons appris par rapport au comportement social. Toujours être poli avec les gens et ne jamais provoquer.
-Oui ma mère je n'oublierais pas. Au revoir.
Sigrund regarda par la vitre du train la mère supérieure s'éloigner. Elle allait lui manquer. Quand il arriva en centre ville, il chercha un plan de la ville dans la gare. Le plan lui indiqua que les quartiers « peu recommandé » se trouver à l'est de la ville, à l’extrême nord-est pour être précis. En somme, il lui faudrait un bon bout de temps pour y arriver, il n'arriverait pas avant la nuit. Il se mit donc en marche aussi vite qu'il put. Après avoir fait la moitié du chemin, il consultât sa montre : 18:53. Bon sang ! Il était vraiment trop lent ! Il avisa un petit hôtel et se dit que tant qu'a faire autant se reposer là jusqu'au matin.
Il entra et fût apostropher par le gérant. Un homme gras, ventru, sale et à la mine patibulaire, mais aux yeux pétillant d'énergie.
-Que vient tu faire ici, minot ?
-Je cherche un abri pour la nuit monsieur.
-Et qu'entends-tu précisément par « un abri dans la nuit » ?
-Euh, hé bien si possible, un endroit chaud avec un lit pour dormir.
-Voilà qui est bien vague, mais nous nous en contenterons. Veux-tu une chambre en particulier ou la mansarde te suffira t-elle ?
Se souvenant de sa minuscule chambre chez les sœurs, il se dit que la mansarde ne pouvait pas être pire. Il dit que la mansarde lui suffirait. Qu'elle ne fut pas sa surprise quand l'homme le conduisit dans une petite pièce qui faisait à peine la moitié de sa chambre du couvent, on pouvait à peine tenir debout et se déplacer sans toucher quoi que ce soit relever de l'exploit olympique.
-Bon, ça a le mérite d'être gratuit au moins, se dit Sig.
Le jour de ses seize ans, la mère supérieure le fit venir dans son bureau.
-Assieds toi Sigrund.
-Qu'y a t'il ma mère ?
-Le moment est venu pour toi d'en apprendre plus sur ta famille.
Sigrund sentit son cœur s'arrêter, il allait peut être connaître ses parents, peut être avait il des frères ou sœurs ?
-Lorsque tes parents t'ont amené ici, ils ont laissé un paquet pour toi, et ont demandé à ce qu'il ne te soit remis qu'à ton seizième anniversaire.
Elle lui tendit le paquet et il la regarda les larmes aux yeux. Il prit le paquet et l'ouvrit tout doucement, en frémissant. Le paquet contenait une lettre et un couteau de combat de l'armée. Il ouvrit la lettre, et la lit.
"Mon fils, ton père et moi avons été les parents les plus heureux du monde lors de ta naissance. Mais nous ne pouvions t'élever là où nous vivions. La zone est trop dangereuse pour un enfant, c'est pourquoi nous t'avons déposé chez les sœurs de l'orphelinat. La mère supérieure m'avait recueilli peu de temps après mon arrivée dans cette ville, j'avais été violé et j'étais au bord du suicide. Les sœurs m'ont aidé à refaire ma vie et à y reprendre goût. C'est au couvent dont s'occupait la mère supérieure précédemment que j'ai vécu dans la prière et la contemplation pendant 6 ans. L'année de mes 26 ans, j'ai rencontré le nouveau jardinier du couvent, il portait une clochette à la jambe parce que nous n'avions pas le droit de le voir et devions partir dès qu'on l'entendait. Mais je l'avais vu une fois, une unique fois qui a changé ma vie.
Nous sommes tombés amoureux et comme je n'avais pas prononcé mes vœux, j'ai pu partir rapidement avec lui. Nous avons voyagé dans toute l'Ukraine pour vivre des aventures assez curieuses, je dois dire. Mais aucunes ne valaient la dernière. La "zone" est un endroit aussi mortel et lugubre, qu'il est magnifique. Et on peut vite devenir riche si on fait attention et qu'on a la chance de survivre aux jours qui passent et aux mutants. Nous n'avons pas fait fortune, mais nous avons trouvé une vie qui nous plaisait à tous les deux, alors nous sommes restés. Et tu es arrivé...Alors nous avons essayé de quitter au plus vite la zone pour te mettre à l'abri.
Je sais que ça a dû être très difficile pour toi de vivre sans nous, mais c'était nécessaire. Ton père et moi t'aimerons toujours. Adieu mon fils."
Sigrund, s'effondra par terre en proie à un malaise.
Deux semaines plus tard, à la gare...
-Sigrund, tu es sûr de ton choix ? Demanda la mère supérieure.
-Oui ma mère, mes parents sont peut être encore dans la « zone », s'ils sont en vie, j'ai une chance pour retrouver ma famille ! Alors je vais aller dans la zone grâce à ce passeur et ensuite, soit je retrouverais mes parents, soit je mènerais une vie d'errant comme eux...
-Soit, si tel est ton choix. N'oublie pas ce que nous t'avons appris par rapport au comportement social. Toujours être poli avec les gens et ne jamais provoquer.
-Oui ma mère je n'oublierais pas. Au revoir.
Sigrund regarda par la vitre du train la mère supérieure s'éloigner. Elle allait lui manquer. Quand il arriva en centre ville, il chercha un plan de la ville dans la gare. Le plan lui indiqua que les quartiers « peu recommandé » se trouver à l'est de la ville, à l’extrême nord-est pour être précis. En somme, il lui faudrait un bon bout de temps pour y arriver, il n'arriverait pas avant la nuit. Il se mit donc en marche aussi vite qu'il put. Après avoir fait la moitié du chemin, il consultât sa montre : 18:53. Bon sang ! Il était vraiment trop lent ! Il avisa un petit hôtel et se dit que tant qu'a faire autant se reposer là jusqu'au matin.
Il entra et fût apostropher par le gérant. Un homme gras, ventru, sale et à la mine patibulaire, mais aux yeux pétillant d'énergie.
-Que vient tu faire ici, minot ?
-Je cherche un abri pour la nuit monsieur.
-Et qu'entends-tu précisément par « un abri dans la nuit » ?
-Euh, hé bien si possible, un endroit chaud avec un lit pour dormir.
-Voilà qui est bien vague, mais nous nous en contenterons. Veux-tu une chambre en particulier ou la mansarde te suffira t-elle ?
Se souvenant de sa minuscule chambre chez les sœurs, il se dit que la mansarde ne pouvait pas être pire. Il dit que la mansarde lui suffirait. Qu'elle ne fut pas sa surprise quand l'homme le conduisit dans une petite pièce qui faisait à peine la moitié de sa chambre du couvent, on pouvait à peine tenir debout et se déplacer sans toucher quoi que ce soit relever de l'exploit olympique.
-Bon, ça a le mérite d'être gratuit au moins, se dit Sig.