Crazy girl

Tout ce qui tourne autour d'Oblivion et qui n'est pas du domaine de la Traduction et du côté technique du Modding.
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Julianos
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Crazy girl

Message par Julianos »

Bonjour/bonsoir à tous !

Je viens vous présenter un RP, créé et imaginé par une amie comme si elle y était vraiment. Dans ce qui semble être au départ un rêve, elle va être emportée dans les magnifiques contrées de Cyrodiil, menacées depuis peu par l'invasion apocalyptique du Daedra Mehrunes Dagon ! Si ça plait, elle continuera ce RP, n'hésitez pas à laisser votre avis ! Bonne lecture :)
Chapitre 1.

Je m'appelle Emma. J'ai actuellement 16 ans. Ce que je vais vous racontez maintenant ne va très certainement pas vous intéresser, parce que vous pensez que je suis folle. Je suis née au Japon. J'habite maintenant en France. Ma mère est décédée à l'acouchement. Je vivais seule, avec ma cousine, à la maison. Cependant, cette nuit, le Vendredi 18 Mars 2012, alors que je rêvassais dans mon lit, j'ai entendue une voix dans ma tête, me dire "Aimerais-tu en savoir plus sur la magie ?".

Je suis une passionée de magie. Et je pensais être en plein rêve. J'ai donc répondue que je le souhaitais. Cette voix m'a ensuite répondu : "Dans ce cas, viens, viens vers moi, aide notre monde à sortir des griffes des terreurs, et tu sauras tout ce que tu veux au sujet de la magie.". J'ai acceptée l'offre, inconsciemment, puis je me suis endormie.

A mon réveil, je me sentais mal, en très mauvaise état. J'ouvrais mes yeux quand je perçevais une petite lumière. Cet endroit ne m'étais pas familié. Appeurée, je me suis levée brutalement. J'étais dans une prison. J'étais terrorisée, je regardais partout autour de moi, en disant à voix basse "Que se passe-t-il ?!", quand un homme, Valen Dreth, cellule en face de la mienne, m'interpella. "Je n'arrive même pas à imaginer ce qui vous attends".

A ce moment là, je leva les yeux, et vis une forme humanoïde étrange, j'étais appeurée, mais je ne suis pas du genre à crier quand j'ai peur. Je restais donc muette, la bouche ouverte. "Bientôt, je sortirais, tandis que vous, vous pourrirez ici jusqu'à votre exécution !". Mon exécution ? Qu'avais-je donc fais ? Notre pays ne tolèrerais jamais ça ! Qu'est ce qu'il se passe ?

C'est alors que des bruits de pas se firent entendre. "Voilà les gardes. Ils viennent pour vous", me disa-t-il, avant de rigoler. Je n'ai pu retenir ce que les gardes se disaient, étant appeurée. Jusqu'à ce que l'un d'entre eux m'interpelle : "Vous ! Reculez à la fenêtre, et il ne vous arrivera rien !", j'executa sur le champ ce qu'il me disa, sans comprendre.

Il ouvrit ensuite la porte, quand l'un des soldats répliqua : "Venez, monseigneur, il est encore temps !". Monseigneur ? Mais où suis-je attérie ? C'est alors ce que Seigneur m'interpella à son tour : "Vous !", je resta silencieuse. "C'est vous que j'ai vue dans mes rêves". Ces rêves ? C'est ici que je compris toute la situation. La personne que j'avais entendue hier, dans ma chambre, n'était nul autre que ce seigneur. A ce moment là, je savais que j'allais devoir, de mes petites épaules, sauver un monde en détresse. Je n'y croyais pas, et je laissais les choses se faire.

Je lui répliqua donc : "Qui êtes vous ?". C'était l'empereur Uriel Septim, de Tamriel, dirigeant de l'empire. Plus aucun doute, c'était bien lui, hier. Ils me proposèrent de faire la route ensemble, souscrivant que c'était "mon jour de chance". J'avançais quand l'un de mes soldats s'arrêta devant moi. "Restez silencieuse et ne vous mêlez de rien, et il ne vous arrivera rien.". Décidément, ces soldats sont strict. Je répliqua : "Qui êtes vous ?", il me répondit "Nous sommes les Lames, la garde rapprochée du Roi. Maintenant, suivez nous, et pas un bruit !". J'exécuta ces désirs sans broncher.

La marche était difficile, le sol n'était pas correct. J'avais plus l'impression de marcher sur des ruines que sur quelque chose de concrêt. Je n'étais pas du tout habituer à vivre ça. Soudain, l'un des gardes cria : "Protégez l'empereur !", sur le coup, je pris peur, et me plaça derrière l'empereur, qui me protégea volontier. L'incident finis, l'un des soldats nous informa que leur capitaine, "Renaut". Pour une raison qui m'est inconnue, j'ai décidée de prendre l'épée du capitaine, ainsi qu'un arc dérobé aux ravisseurs. Nous continuâmes donc notre chemin.

Après de longues minutes de marche, l'un des soldat m'arrêta. "Attendez ici, maintenant !". Ils partirent. J'attendais tranquillement quand l'un des murs à proximité explosa. Un rat immense en sorta. Il me sauta dessus et me morda violamment avant de se reculer. Je serra ma main de douleur quand une lumière blanche et bleu apparu, entourant ma main, après quoi, ma blessure fût guéris. Je n'en revenais pas. Je serra à nouveau ma main. Le phénomène se reproduisa.. de la magie !

A ce moment là, j'étais stupéfiée, mais heureuse. C'est comme si j'avais, d'un seul coup, plus confiance en moi. Je prise l'épée, et, quand le rat chargea à nouveau, je frappa de toute mes forces en ça direction. Je suis ressortie victorieuse. J'étais si fière ! Et je ne m'imaginais pas, à cet heure ci, ce qui m'attenderais pour le reste de mon périple.

Décidée à ne pas attendre ici, je tenta de m'introduir dans le mur que le rat avait cassé. L'odeur était infeste, ça sentais une odeur que je n'avais jamais sentie. Pour éviter d'avoir à avoir mal, et par mes délires de petite gamine, j'ai prise la décision, à ce moment là, d'être très discrête : Je rangea l'arme comme je pouvais en la coinçant dans une partie des vêtements que je portais, qui d'ailleurs, n'étaient pas les miens, avant de sortir l'arc que j'avais récupérée. A partir de maintenant, la discretion et la visée sera mon atout. Je n'avais encore jamais fais de tir à l'arc, mais j'ai toujours rêvée d'en faire. C'était l'occasion où jamais, puisque je pensais encore être dans un rêve, malgré la douleur que j'ai pu subir. A ce moment, je pensais que la douleur était en faite une illusion créer par mon cerveau.

J'avançais dans les souterrains quand un rat fît son apparition. Dans mes délires de petite gamine, je me disais, "Un ratata sauvage apparait !". Je pointait mon arc en ça direction avant de prendre une flèche. Ce tir était surement le plus long que j'ai pu exécutée de toute ma vie. Mais une fois la flèche partie, elle arriva à ça cible ! "J'ai réussiiiiiiiiie !" cria-je, j'étais fière de mon exploit. Malheureusement, le fait d'avoir crier incita un autre rat à venir. Mes pensées de gamines n'avaient plus le dessus sur la situation. Je devais agir, vite. Je bandait mon arc, et tira le plus tard possible, de peur de rater ma cible. Encore une fois, la flèche arriva sur ma cible. Cette fois ci, je ne disais rien. Mais je ne pouvais m'empêcher de sourir. C'était pour moi ma première victoire.

Au fil du chemin, je tomba sur une créature verte.. j'aurais dis un gobelin. Je lui ait tirée dessus, fière, pensant qu'une flèche suffira. Il se retourna, et me fonça dessus. ça vitesse était de tel que j'en étais paralysée. Je me laissa tomber en arrière et, d'un coup de chance, la créature, qui comptait m'estoquer, s'estoqua avec l'épée du capitaine qui, en tomba, s'était orienter vers le haut. La créature me tomba dessus. Je m'enlevais progressivement avant de l'avouer sincèrement : Ce n'est pas aussi simple que je le pense, et je n'ai pas la force physique de réaliser quoi que ce sois.

Je continua donc mon chemin jusqu'à arriver à un trou qui semblait donner sur quelque chose de plus glorieux, quand j'entendais des voix. Je les reconnaissaient. C'était mes compagnons de tout à l'heure. Je fonça vers eux, quand ils se firent attaquer. Je voulais me montrer brave, je brandissais mon arc quand l'un des soldats me cria de ne rien faire. Surement qu'il doutait de mes compétences. A vrai dire, il avait surement raison. Une fois le conflit terminer, je déscenda, d'un pas.. pas sûr. L'un des soldats m'aggressa. "Tuons la, elle fait surement partis d'entre eux !", je reculais, quand l'empereur répliqua : "Non, elle n'est pas des leurs, et elle peut nous aider, il le faut !". Il s'approcha ensuite de moi. Il me parla d'une histoire d'étoile que je ne comprenais pas, finissant par : "Et vous, sous quels étoiles êtes vous née ?".

Je ne savais pas quoi répondre. J'étais gênée de cette situation. J'entendais ensuite une voix dans ma tête, qui chuchottait des choses que je ne comprenais pas. Le temps s'était arrêté. Je ne comprenais pas ce qu'il se passait. Soudainement, je répondis : "Destrier !", c'était sortit tout seul. Mais c'est à ce moment que je venais de vraiment naitre dans ce monde. J'y étais maintenant.. totalement liée, sans l'avoir encore réalisée.

J'accepta d'aider l'empereur, et nous continuâmes ensemble notre chemin. Nous arrivâmes devant un chemin, scellé par une "porte-grillage", qui semblait être le chemin qu'ils comptaient emprunter. Après réflexion, ils décidèrent d'emprunter un autre chemin, à proximité. Mais il s'agissait d'un cul de sac. Ce dont je suis sûre, c'est que l'empereur savait ce qui allait se passer. Il me donnait un talisman, ou un collier.. je ne sais pas trop ce que c'était, et me parla de créature des ténèbres et autres, et que je devais amener.. disons.. cette "amulette" à "Maitre Jauffre". Je pris donc l'amulette, avant d'entendre les gardes crier.

C'était un piège, et en quelques secondes, nous firent encercler. Afin d'aider les gardes, je sortis mon arme, et pointait vers l'ennemis, avant d'entendre un mur se casser derrière : l'empereur venait d'être tué. Les gardes se ruèrent sur les ravisseurs, tandis que je restais sur place, choquée. "Où est l'amulette ?!". Le garde semblait paniquée. Je lui raconta donc tout ce que l'empereur m'avait dit. "Si l'empereur vous l'a dit, c'est que vous êtes de confiance. Faites donc ce qu'il vous à dit !". Je lui réponda que je ne savais rien sur ces lieux et que je ne savais pas me défendre. Il rigola. "Tenez, prenez ça". Je pris l'objet qui était un bout de papier. "Avec ça, vous saurez comment y aller". Je regarda le papier attentivement. Il était vierge. "C'est quoi ?". Il me réponda : "Voyons, c'est une carte !". Je regardais à nouveau attentivement le papier. "Mais il n'y a rien dessus ?". Il rigola à nouveau. "Vous êtes drôle ! Bien évidamment, c'est à vous de la remplir ! Et grâce aux informations des villageois, ça sera encore plus simple !". Je restais muette. "Et puis ne me faites pas croire que vous ne savez pas vous défendre, voyons ! Je vous ai vue à l'oeuvre !". Aucun mot ne sorti de ma bouche. "Vous êtes référencée sous quel classe ?". Une classe ? J'ai voulue lui répondre ma classe dans mon établissement scolaire quand il rétorqua : "Guerrier ? Je suis sûr !". A ce moment là, j'avais compris. "Ah non, vous vous trouvez, je suis étudiante.". Il répliqua, d'un air très amusé. "Etudiante ?! Haha ! On me l'avais jamais faite celle la ! Sinon, merci d'avoir garder l'épée du capitaine. Je vous la reprend. En échange, tenez, prenez cette clé, elle vous permettra de sortir des égouts.". "Et vous ?", lui répondais-je. "Je vais rester ici, à veiller sur la dépouille de l'empereur". Triste vie. Je partis donc, sans comprendre ce que je devais faire. A ce moment là, j'étais perdue. J'étais à deux doigts de pleurer. Je m'arrêta contre un mur pour vérifier si je rêvais. Je n'arrivais pas à me réveiller. Je sortais donc, les larmes aux yeux, j'étais fatiguée, je voyais flou, et je venais juste de réaliser ce qui m'arrivait. J'étais maintenant dans ce monde, très certainement pour l'éternité. Sortie dehors, je ne savais déjà plus où aller. Je m'éfondra au sol, endormie.

Chapitre 2.

Je me réveillais. J'avais froid. Je me disais que j'allais enfin me réveillée dans mon lit. Mais ce n'était pas le cas, j'étais encore la. Je me leva, décidée à agir plutôt que de pourrir ici. J'observa les allentours. J'aperçue au loin une ville.

Je me dirigea donc vers cette dernière qui, d'après mes informations, serais "La Cité Impériale". J'entra donc dans cette ville et questionna le premier gardes à propos de la localisation de l'endroit où habiterais ce "Maitre Jauffre". Il remplissa ma carte pour que je puisse connaitre l'itinéraire.

Je visita ensuite la ville. Elle était vraiment splendide. J'entrais n'importe où, histoire de m'habituer à ce monde, malgré que je ne voulais pas y vivre. La première porte donna sur une auberge. Vide. Seul le gérant était la. Voyant mon visage, il commença a me questionner. Je n'avais pas le courage de tout lui raconter, jusqu'à ce qu'il me servit à boire. "De l'eau pour une jolie fille !". Il me fit signe de m'assoir, et s'asseya à coter. Je lui raconta donc tout. Je pensais qu'il ne me croirait pas. Mais cette personne semblait très gentille. "Je vous crois. Pour vous aider, je vous offrirais dans le besoin une chambre gratuite chaque fois que vous passerez, si elles ne sont pas pleines.". J'accepta, gênée. C'était désormais ma nouvelle maison temporaire. Il retourna à son bar quand une personne entra. Elle vint à coter de moi, je ne faisais pas attention. Je suis de nature très timide. Cette personne me tendit une lettre, en me disant "Tenez, c'est de la part d'une amie". Je répondait rapidement : "Ah non ! Vous devez très certainement vous tromper !" en repoussant la lettre. Elle me la tenda à nouveau quand je vis son visage. ça ne m'étonnais plus. "Tenez", insista-t-elle. Je pris donc la lettre et, alors qu'elle partait, je la lisais. C'était un rendez vous pour de grosses récompenses, à Minuit, le soir. Je ne savais pas comment prendre cette offre, mais si je voulais vivre, il me fallait des moyens. C'était décidé, je rencontrerais "Le Renard Gris" ce soir. Du moins, c'est ce que je pensais. Avant d'y aller, je prise la décision de passer chez un forgeron, afin de changer ces vêtements. Ce forgeron me proposa des armures, qui, forcément, étaient trop chère pour moi. Il me proposa cependant une tenue, gratuite, qu'il aurait récupéré proche de chez lui, une tunique qui, selon lui, serait apparue par magie. J'observa la tunique : C'était une tenue d'étudiante japonaise. Je ne porte que ça, chez moi. J'accepta donc de prendre la tenue. Je ne comprenais plus rien. Comment avait-elle pu arrivée la ? Quoi qu'il en soit, je devais aller à mon rendez vous. Je suis arrivée, après m'être renseignée auprès des gardes, sur le lieu du rendez vous. Mais il n'y avait personne. Peut être avais-je mal déterminer où c'était selon la description des gardes. Je décida donc de rentrer à la maison, et m'allongea dans mon lit. Je me pouvait m'empêcher de penser à ma vie précédente. De m'imaginer que là bas, le temps continu.. j'étais si angoissée que ce sois le cas, que je me releva, silencieuse. Je sorti pendant que le barman rangeait des choses. Il ne m'avait pas vu, du moins, je ne pense pas. Direction le Prieuré de Weynon, à proximité de la ville de Chorrol.

La route était longue, mais j'étais si angoissée que je me mise à courir pour y arriver. J'étais tellement mal dans se monde que je prise la décision de couper la route, en y allant directement à la nage. Je ne sais pas si le raccourci était vraiment utile, mais en tout cas, j'étais trempée.

Après des heures de marche, j'étais enfin arrivée au Prieuré de Weynon. J'avais courue et nager toute la nuit. Il faisait maintenant jour. J'entra dans ce qui semblait être une chapelle. Un moine m'accueilla. "Que puis-je faire pour vous ?". "J'aimerais voir maitre Jauffre". "Bien. Il se trouve en haut". "Merci.", j'emprunta donc les escaliers. J'étais si proche du but "actuel" que mon esprit de gamine prise le dessus. J'avais une blague à sortir ! Je monta les escaliers, deux choix s'offrirent à moi : a gauche, ou à droite. Je suis de nature supersticieuse, et selon mes mythes, "à droite, ça sens la merde". Je suis donc aller à gauche, là, je vois un Moine. Jauffre ! Je m'approcha de lui, et m'exprima : "Bonjour, Maitre G-.. je veux dire, maitre Jauffre, c'est vous ?". Ma blague était trop bien ! "Non". ça me coupa litéralement mon délire. "Et essayez d'être plus drôle la prochaine fois. Jauffre est de l'autre coté". J'étais gênée, repartant, complètement humiliée. En plus d'avoir fais une blague nulle, il fallait que ça ne sois pas la bonne personne.. J'étais donc maintenant devant le vrai maitre Jauffre, l'authentique. Je n'avais plus vraiment l'envie de sortir ma blague. Je lui expliqua la situation quand il me dirigea directement vers la ville de Kvatch, pour retrouver le fils héritier de l'empereur. Moi qui pensait que mon périple se finirait là, je m'étais bien trompée..

Je descanda donc vers la sortie quand le moine qui m'avait accueillie m'arrêta. "Prenez mon cheval, je voyage peu, il vous sera plus utile qu'à moi.". "C'est vrai ?!" répliquais-je, exitée. "Oui, faites donc !". "Oh, merci !". C'était la première fois que j'allais faire du cheval ! Je sortais donc, et me dirigea vers l'écurie. Ici, une autre personne m'indiqua de quel cheval il s'agissait, tout en me donnant un marteau de combat. Je ne sais pas m'en servir, mais je compte bien le vendre pour me prendre quelque chose qui me servira. En attendant, je vais me servir exclusivement de mon arc.

Je monta donc sur le cheval, qu'il était beau ! Direction Kvatch ! En route, nous (expression désignant moi et le cheval) furent attaquer par des loups, que j'éliminais assez aisément, maintenant. Nous arrivâmes dans des ruines. Je laissa le cheval à proximité, et entra dedans. Je regardais en l'air, dans ce qui semblait être une tour, il n'y avait pas de plafond, on pouvait voir le ciel. Je restais, inerte, à prendre la brise, la tête haute, quand j'entendis "La bourse ou la vie !", j'étais entourée de plusieurs personnes. J'avais trop peur. Je leur ai donc céder l'or que j'avais. Tout ce que j'avais, avant de repartir. C'était une grosse défaite.

Je remonta sur mon cheval. En route, nous avons observer des animaux sauvages. Mon cheval les faisaient tous fuir ! C'était un cheval très fort - et c'est à ce moment là que j'avais compris que ce même cheval, bientôt, lui et moi, nous nous sépareront peut être définitivement..

Nous arrivâment ensuite à un champ de fleur magnifique. Il allait bientôt faire nuit. Nous nous arrêtames afin d'en cueillir un petit peu quand au loin, j'aperçu un bastion. "C'est surement Kvatch !". Je remonta sur mon cheval, et nous continuâmes notre route. Presque à Kvatch, un homme nous arrêta. "N'y allez pas !", il nous expliqua que des portes d'oblivion, même sujet dont m'avait parler l'empereur, étaient apparus, et que la ville était détruire. Il fuya ensuite, me laissant le choix d'aller voir par moi même, ou de fuir. Ce choix sera décisif. J'avais peur, et je ne savais pas quoi faire. Je restais figée, à réfléchir à ma prochaine décision.
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